Je travaille sur le marché francophone, mais comme je suis quelqu’un qui aime les défis, j’ai également décidé de m’ouvrir au marché américain (Exemple ici en vidéo).
Tu n’as pas besoin d’un master en langue “shakespearienne” pour te lancer. Ceci dit, tu devras néanmoins avoir des connaissances de base de la langue. Comme je le dis souvent dans mes vidéos et dans mes posts “Tu peux y arriver si tu t’en donnes les moyens”.
Voici mes 3 astuces “mindset” pour t’aider à y remédier.
ASTUCE 1 : CHANGE DE MENTALITÉ
Dans le business, les américains sont plus ouverts d’esprit que les francophones. Ils ont cet état d’esprit capitaliste qui les fait avancer.
Leur crédo : « je veux quelque chose, alors je m’en donne les moyens ».
Ce que tu dois faire :
- Arrêter de te lamenter. Soyons direct, les français ont cette mauvaise habitude de se laisser aller lorsqu’ils sont confrontés à des situations difficiles. Prenons l’exemple de cette pandémie “qui nous pourrit la vie” disent-ils.
Pourquoi s’apitoyer sur son sort au lieu de chercher des solutions pour s’en sortir ? Attention, je ne cherche pas t’enfoncer. Je veux dire par là que ça ne sert à rien de se lamenter. La situation est telle qu’elle est. Du coup, ce qu’il faut faire c’est avancer et oser prendre des risques.
Comme le cite Robert Kyiosaki : “Dans un monde en plein changement rapide, les seuls qui courent un grand risque sont ceux qui n’en prennent aucun.”
ASTUCE 2 : TROUVE DES COLLABORATEURS POUR T’AIDER
Oui, je suis entrepreneur solo. C’est-à-dire que le gros du travail c’est moi qui le fait.
Mais comme je ne peux pas tout faire tout seul, j’ai pris la décision de m’entourer de collaborateurs pour m’aider dans mon travail.
C’est important.
Ce que tu ne peux pas faire, délègue-le.
C’est ça aussi, être un « entrepreneur alpha ».
Savoir accepter qu’on ne peut pas faire le travail tout seul/ savoir accepter qu’on a besoin d’aide/ et surtout avoir une grande humilité. (Nous en reparlerons dans un prochain article)
ASTUCE3 : LE MINDSET
Notre biz à nous autres entrepreneurs digitaux, est un super business mais pas magique. On est loin du monde des “bisounours” où tout est acquis.
Ce que j’aime dans l’état d’esprit américain, c’est cette capacité à savoir relativiser et à passer à autre chose rapidement. C’est également mon état d’esprit.
Alors, certes j’ai mis du temps avant de le développer, mais on n’a rien sans rien.
Peu importe dans quelle niche tu décides de te lancer. Ce qu’il ne faut surtout pas faire c’est abandonner.
Je ne suis pas de ceux qui offrent tout sur un plateau d’argent, mais de ceux qui proposent des stratégies, des conseils et des formations pour les personnes qui veulent s’en sortir et réussir.
Si toi aussi tu es prêt à t’investir dans l’infopreneuriat, tu es bienvenu(e) au club via ce lien.